Maharashtra-Québec

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mercredi 20 novembre 2013

Première conférence à l'Université de Sherbrooke, campus Longueuil



 Lundi, le 7 octobre 2013
Première découverte de la ville de Montréal pour presque 2 heures. Serge est un excellent guide qui connaît si bien sa ville et dès lors la ville commence à prendre une personnalité pour moi aussi.
A midi la fatigue me prend ; il est aussi temps de dîner, ayant déjeuné le matin à l’hôtel.
Puis le moment important et rare de parler à propos de la littérature nationaliste en marathi. Le campus Longueuil de l’Université de Sherbrooke se trouve l’autre côté du fleuve Saint-Laurent, il faut traverser le pont Jaques-Cartier.

 
Tout va bien, les étudiants découvrent la littérature nationaliste du marathi. Il y a une sénégalaise qui s’intéresse à la littérature féministe, d’autres cherchent la possibilité de faire un type d’échange à Pune, en politique appliquée. Après une petite pause Serge prend le relais pour élucider certains concepts à l’aide des notions qu’ils reconnaissent comme du haut en bas ou de bas en haut, etc.
A la cafétéria Serge me présente son nouveau livre L’Inde et ses avatars. La couverture consiste en des têtes de dieux et de déesses. Cette tentative d’exotisme de l’Inde ne me plait pas. Serge dit qu’ils avaient beaucoup débattu à ce sujet, le choix étant entre un centre d’appel et les têtes des dieux. J’ai découvert depuis que c’est un bon travail et si les dieux peuvent aider à la vente, tant mieux.
Le climat varie d’un moment à l’autre de la journée. Il faisait beau, il y avait du soleil le matin et depuis notre arrivée à Longueuil il pleut, pour plus de 3 heures. Mais le soir où nous sommes de retour à mon hôtel, le ciel est presque dégagé, ainsi, il est de nouveau possible de se promener.
Je mange ce que recommande Serge, j’apprécie la saveur continentale, mais maintenant que j’écris cet agenda avec un petit écart du temps, je me rends compte que je n’avais fait aucun effort pour retenir les noms, sachant sans doute que je n’ai pas une bonne mémoire quand il s’agit de la cuisine ni l’intérêt à essayer les plats. Je fais partie de la catégorie des gens qui n’aiment pas cuisiner. Manger un repas tout fait est un des meilleurs bonheurs dont je profite. (En septembre lorsque je préparais mes conférences sans compromettre mes obligations professionnelles administratives et d’enseignement, ma belle-sœur - la femme de mon frère - a eu la gentillesse de me donner mon dîner que je collectais en route, et parfois j’allais même souper chez eux.)


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